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samedi 30 décembre 2006

Fitzpatrick: Cherry devrait se désister

Vancouver — Le défenseur Rory Fitzpatrick des Canucks de Vancouver s'est joint aux nombreux critiques de Don Cherry et de sa candidature au sondage Le plus Grand Canadien tenu au réseau CBC. Fitzpatrick accuse les fans qui ont voté pour le coloré commentateur d'être des «hurluberlus,» et qualifie le mouvement populaire généré sur internet de «mauvaise blague.» Il croit que Cherry se fait «berner comme un idiot,» et devrait refuser de se présenter à la cérémonie s'il venait à terminer parmi les dix premiers.

Votez pour Cherry

«Le Canada n'est pas une blague, mais ce concours est une blague. Ceux qui ont voté ne sont pas vraiment des fans. Si tu écoute Don – ils ne rient pas avec toi, ils rient de toi.» Le défenseur a par la suite retiré "idiot" mais est demeuré sur sa position: «Comment peut-on dire que ce sont les fans qui ont voté pour lui? Ils ne l'ont jamais entendu parlé! Si Cherry a quelque peu de dignité, il devrait laisser sa place à quelqu'un qui le mérite vraiment, tel que ce monsieur qui a inventé le téléphone, par exemple.»

Le principal intéressé dans cette affaire Don Cherry se dit blessé par les propos de Fitzpatrick, mais affirme qu'il acceptera sa nomination «si c'est ce que les fans veulent.» — (Ass. Pricks)

dimanche 10 décembre 2006

C'est l'Armistice!

Washington — C'est avec une explosion de joie que la foule a accueilli l'annonce de la victoire marquée par l'illumination sur la pelouse du Capitole de l'Arbre de Noël, de retour après une absence de sept ans durant laquelle un 'Arbre des Fêtes' ("Holiday Tree") a trôné à sa place. Le retour de l'appellation "Christmas Tree" marque avec fracas la capitulation sans conditions des Forces Laïques et la fin de la Guerre contre Noël, alors que le général Bill O'Reilly accueillait en grande pompe les dignitaires laïcs à bord du cuirassé Foxnews pour accepter la signature de l'acte de redition de Wal-Mart, dernier bastion de l'Empire judéo-laïc. Dans toutes les villes des États-Unis des manifestations de joie spontanées ont éclaté; à New-York, des milliers des citoyens en liesse ont envahi Times Square en chantant en choeur le Merry Christmas de John Lennon, jusque là interdit.

Célébrations

Le général O'Reilly se sera avéré comme un combattant de la première heure, alors que sa lutte a débuté bien avant le déclenchement officiel de la guerre: déjà durant les années soixante, alors que beaucoup de jeunes hommes de son entourage flânaient dans les jungles du Viet-Nam et du Cambodge, il luttait en première ligne dans les tranchées des premières agressions laïques en clamant «aucun bâtard n'a jamais gagné de guerre en mourant pour sa patrie; il l'a gagné en faisant mourir un autre pauvre bâtard pour sa patrie.»

Les hostilités auront donc duré près de six longues années, et auront été marqués par une campagne sanglante de "sauts de puce" transformant chaque place publique, chaque centre commercial et chaque chaîne de grands magasins en théâtre de combats sans merci où les forces expéditionnaires Évangéliques ont dû manifesté et boycotté en bravant le ridicule et la futilité. Si les batailles de Kohl's, Sears, Target et Macy's ont exigé un lourd tribut, la bataille de Wal-Mart se démarque des autres par son intensité et sa férocité.

Même les enfants n'ont pas hésité à monter au front, alors que 300 enfants du régiment Bishop Kelley Catholic School ont pris d'assaut la tête de pont de LaPeer au Michigan lors de la bataille de Meijer et Home Depot.

La levée de l'arbre
Les Marines érigent un arbre de Noël à Boston

À Boston, les combats ont particulièrement été rudes alors que les Marines évangéliques sous le commandement du Général Falwell ont bataillé ferme pendant des semaines sous un feu nourri de législations et de rectitude politique pour reprendre le contrôle de l'arbre des fêtes.

La Guerre a fait rage à travers les États-Unis, et s'est même étendue outremer alors qu'au Royaume-Uni l'opération Winterval destinée à prendre possession du saillant de Birmingham s'est avéré la bataille majeure du front britannique.

Le Général John Gibson, commandeur-en-chef des forces évangéliques a chaleureusement félicité tous les soldats qui ont participé à cette guerre d'envergure nationale, mais tient à prévenir ses troupes que si la guerre est terminée, les combats restent encore à faire alors que plusieurs poches de résistance subsistent; il se dit toutefois confiant: «Nous nous battrons dans les écoles, nous nous battrons dans les centres commerciaux, nous nous battrons dans les hôtels de villes et les cours de justice. Nous défendrons notre religion, peu importe le coût. Nous n'abandonnerons jamais.» — (Ass. Pricks)