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Blog de fausses informations et de vraie désinformation

jeudi 20 février 2003

Bush demande au Congrès de déclarer la guerre

Washington — Conformément à sa nouvelle stratégie de suprématie globale, le président américain George W. Bush a formellement demandé hier au Congrès américain le mandat d'attaquer les États-Unis. Bush invoque des «preuves accablantes» de la présence d'armes de destruction massive, notamment plus de 10,000 missiles nucléaires prêts à être lancés en moins de 20 minutes. «Nos rapports sont formels,» explique Bush «George W. Bush dépense plus de 25 milliards $ par année pour le maintien d'armes nucléaires.» Le président a également pointé du doigt la nouvelle stratégie de suprématie globale du président Bush, la qualifiant de «signe évident de l'aggressivité de Bush et de ses vues expansionnistes.»

À New-York, le secrétaire général aux Nations-Unies, M. Kofi Annan a chaudement accueilli l'annonce du président, et pour une fois s'est prononcé fortement en faveur d'une intervention musclée. Il a affirmé son intention de faire tout ce qui est en son pouvoir afin d'obtenir le soutien de la communauté internationale, ce qui ne devrait pas représenter trop de difficultés alors que le Conseil de sécurité des N-U a entériné à l'unanimité moins un l'appui inconditionnel envers Bush. Le président français Jacques Chirac a d'ailleurs déclaré être «plus qu'enthousiaste» à l'idée de mettre l'Amérique au pas: «Depuis longtemps les américains affiche une attitude méprisante et hostile à l'encontre du peuple français. Il nous fera grand plaisir d'assister notre allié de toujours les États-Unis d'Amérique à enrayer la menace des américains, ennemis de la France.» De son côté Jean Chrétien se montre moins enthousiaste mais s'est tout de même dit ouvert à la possibilité d'un éventuel envoi de troupes de maintien de la paix au Canada, un état satellite des États-Unis.

Missiles américains
Selon les experts américains, l'Amérique possèdera des missiles nucléaires capables d'atteindre l'Europe «dès l'année 1955»

À New-York, le secrétaire général aux Nations-Unies, M. Kofi Annan a chaudement accueilli l'annonce du président, et pour une fois s'est prononcé fortement en faveur d'une intervention musclée. Il a affirmé son intention de faire tout ce qui est en son pouvoir afin d'obtenir le soutien de la communauté internationale, ce qui ne devrait pas représenter trop de difficultés alors que le Conseil de sécurité des N-U a entériné à l'unanimité moins un l'appui inconditionnel envers Bush. Le président français Jacques Chirac a d'ailleurs déclaré être «plus qu'enthousiaste» à l'idée de mettre l'Amérique au pas: «Depuis longtemps les américains affiche une attitude méprisante et hostile à l'encontre du peuple français. Il nous fera grand plaisir d'assister notre allié de toujours les États-Unis d'Amérique à enrayer la menace des américains, ennemis de la France.» De son côté Jean Chrétien se montre moins enthousiaste mais s'est tout de même dit ouvert à la possibilité d'un éventuel envoi de troupes de maintien de la paix au Canada, un état satellite des États-Unis.

Seul de son camp, le premier ministre britannique Tony Blair est toutefois en désaccord, et prône une approche plus modérée; il préfèrerait la mise en place d'inspecteurs de l'ONU qui auront libre accès aux infrastructures militaires américaines, ainsi qu'aux installations présidentielles, tel que la Maison-Blanche et le Capitole; mais Bush balaie cette option du revers de la main en rappelant qu'elle a déjà été tentée par le passé sans succès: «les États-Unis compte le plus grand nombre de représentants des Nations-Unies présents sur son territoire, et voyez le résultat.»

Bush et un militaire
Un officier explique au président les détails de l'opération "Trailerpark Storm"; à l'arrière-plan, des hélicoptères Black Hawk sur le point d'envahir le Minnesota

«Il est important de comprendre que Bush n'a aucunement l'intention de reculer» poursuit Bush, «il a maintes et maintes fois démontré ses intentions belliqueuses: au Moyen-Orient, en Amérique du Sud et en Afrique, partout où ils sont passé les États-Unis ont fait la preuve de leur mépris envers la liberté et l'indépendance des nations du monde. En tant que protecteur de la liberté et de l'indépendance des nations du monde, il est du devoir des États-Unis d'intervenir.»

Bush va encore plus loin: «avec le Canada, le Royaume-Uni, l'Australie et la Nouvelle Zélande, les États-Unis sont à la tête d'un véritable "Échelon du Mal", exerçant leur mainmise tentaculaire dans l'économie des nations. La population est fortement endoctrinée dès l'école maternelle à l'aide d'un "serment d'allégeance" qu'ils sont forcés de réciter chaque jour. Ils sont fanatiquement dévoués à leur drapeau, qu'ils croient être une manifestation directe de la volonté de leur dieu.»

Bush a conclu en lançant un vibrant appel à la population: «Les États-Unis représentent une grave menace à l'équilibre mondial et la souveraineté des nations, et il incombe aux États-Unis de faire face à cette menace. Nous nous devons d'attaquer et de vaincre toutes les manifestations du fanatisme religieux aveugle avec une ferveur et une foi inflexible; que Dieu nous vienne en aide.» — (Ass. Pricks)

jeudi 6 février 2003

Prostitution juvénile à Québec: nouvelles révélations

Québec — Des nouvelles révélations ont été mises à jour par le service de Police de Québec concernant le réseau de prostitution démantelé en décembre dans le cadre de l'opération Scorpion. Selon le SPQ, plusieurs autres présumés clients s'ajouteraient aux trois accusés, une liste «qui pourraient inclure» plusieurs personnalités publiques connues, «qui pourraient oeuvrer dans n'importe quel milieu: médias, politique, affaires...». La police affirme que l'ensemble de la preuve est «plus en béton que jamais», et les actes rapportés «dépassent toute imagination, encore plus qu'avant.»

Les enquêteurs se défendent toutefois de faire du sensationnalisme, et affirment rendre publiques ces nouvelles informations simplement dans le but de mettre un terme aux innombrables rumeurs et fausses délations qui déferlent sur la capitale depuis maintenant près de deux mois. Ils refusent de dévoiler des noms, mais laissent toutefois entendre que «Robert Gillet ne serait pas le seul animateur radio impliqué,» ce qui a fait sursauter André Arthur, qui a vertement critiqué «ces allusions mensongères» et a affirmé au cours de son émission «déplorer vivre dans une société où la calomnie et les rumeurs règnent en maître, et où l'on bafoue si cavalièrement le principe de la présomption d'innocence.» — (LeToaster.com)